mercredi 19 décembre 2007

LES LOGEMENTS? CA BOUGE DANS LE 78

LES LOGEMENTS, ÇA BOUGE !
MAIS PAS DANS LE BON SENS !
Le 18 décembre 2007,

« LES BRUITS DE COULOIRS NE SONT JAMAIS ANODINS ! »

Des modifications devaient avoir lieu sur le règlement relatif aux avantages en nature des logements

Cela entraînait une perte pour les accédants à la propriété-occupant ! On commence par eux ! (Revalorisation et fluides ce qui pour certains en fonction de l’évaluation des domaines entraîne une perte importante.)

Ce n’était qu’un début, la forte pression des syndicats a permis l’ajournement de ces propositions. Attention après les élections !!
Doit-on craindre le pire sur la politique du logement des Yvelines ?

On peut le croire. Une commission logement devrait être créée. Elle serait composée exclusivement d’élus. Sans représentants du personnel ? Comment les agents pourront-ils faire valoir leur droit, comment seront-ils considérés ?

Manque de crédit dans le Sdis ? Cela dépend de qui et pourquoi ?
Comme les élus ne veulent pas augmenter le budget, la seule façon est, encore une fois, de taper sur les avantages en nature et sur la feuille de paye des agents ! Et encore cela dépend de votre catégorie…

Nous exigeons

- Le respect des protocoles d’accord
- Le logement pour tous
- Le choix du logement
- Aménagement de la règle des 20 min (Comme le fait le département lorsque cela l’arrange : Refus d’un logement à 21 min et proposition d’un logement caserné à plus de 20 min)
- Faire partie de la commission logement


- Que l’emploi des 500 000 €, qui devaient être attribués pour les tickets restaurants, soient utilisés pour créer des nouveaux postes de logés
- Que les 600 000 € attribués à l’orchestre départemental (gestion opaque) soient également reversés pour les logements. (Apparemment certains privilégient le prestige au social)
- Un entretien avec le président Cassagne que nous sollicitons depuis plusieurs mois. (Nous avons des solutions nouvelles pour loger toutes les personnes qui le souhaitent)


Au-delà du logement, des problèmes récurrents persistent. Beaucoup de promesses, mais rien n’est fait. Immobilisme total. Nos élus jouent le cumul des mandats et nos officiers supérieurs privilégient leurs avantages et leur carrière.

lundi 17 décembre 2007

COMMUNIQUE DU 7 DECEMBRE 2007

Versailles, le 07 décembre 2007



La vérité est ailleurs

Agressé par des communiqués diffamants, le SNSPP 78 tiens à remettre les pendules à l'heure à l'encontre d'un syndicat démagogue, peu scrupuleux et à la mémoire courte.


Acte 1: M. Marini membre du bureau SNSPP78

Pour comprendre la fin de l'histoire, il faut en connaître le début. En 2002, M. Marini apprend à son bureau l'existence d'acte de pédophilie qui auraient été commis par un médecin SPP!! Terrible, insupportable. Mais voilà, pas de preuves, pas de témoignages…
Impossible de se lancer dans une procédure sans éléments concrets. C'est la différence entre la justice d'un pays démocratique et celle d'un pays totalitaire.
Qu'à cela ne tienne, M. Marini y va sans l'accord de son bureau. C'est la aussi la différence entre des actes réfléchis et la bêtise. Résultat des courses, une plainte contre le SNSPP pour diffamation…Logique, nous aurions fait de même. Le SNSPP débourse 2000€ pour gagner grâce à un vice de forme. Heureusement le fond n'est pas jugé.
Evidemment, les finances d'un syndicat étant ce qu'elles sont, et les preuves et témoignages étant toujours absents, le SNSPP 78 demande à Don Quichotte de cesser de nous saborder.

Réponse: Puis ce que c'est comme çà, je m'en vais!! Au revoir…


Acte 2: Le conseil de discipline

Lassé de papillonner de syndicat en syndicat depuis le début de sa carrière, notre ami fini par créer le sien. Il en profite pour repartir en guerre contre l'administration qui ne veut rien faire contre ce médecin. Pff, tout çà parce qu'il n'y a pas de preuves.

Lassée (elle aussi) de ces attaques, l'administration fait passer M. Marini devant le conseil de discipline. Elle demande la mise à la retraite d'office. Bon moyen de se débarrasser d'un gêneur diront certains, mais pas le SNSPP en tout cas. Malgré son passé avec M. Marini, notre syndicat, seul représentant du personnel en catégorie supérieur, le défend. Preuve s'il en ait besoin que nous ne sommes pas rancunier. Nous défendons aussi la fonction de délégué. On a pas le droit de virer quelqu'un sous prétexte qu'il fait son travail de délégué, quelque soit la qualité du travail…

Le SNSPP qui connaît bien les rouages du conseil de discipline et la logique de l'administration ne joue pas la carte de s'opposer à toutes les sanctions proposées sous peine de butter le président qui n'aurait fait que confirmer sa première demande.
Après d'âpres négociations, le SNSPP arrache une sanction assortie de sursis. Une manière de faire comprendre qu'il n'est pas utile de continuer de s'égosiller sans preuves sur ce sujet, mais à nos yeux surtout une sanction qui a le mérite de ne rien faire perdre financièrement à un homme qui comme tout le monde à besoin de son salaire. (Pour rappel ce genre de sanction est fortement combattu par tous les syndicats des Yvelines).

Acte 3: La décision de M. Cassagne

Le SNSPP ne peut que condamner la décision du président du conseil d'administration de ne pas suivre le sursis proposé à l'unanimité (y compris les élus du SDIS) par la commission. Mais enfin faute à qui? Aux agissements hasardeux voulus par le propre syndicat de M. Marini. Serais-ce à des fins électorales? Voilà le résultat. Toujours est-il que le SNSPP n'a pas à rougir de cette affaire. Son travail de défense il l'a fait en imposant le sursis dans ses négociations. Ce qu'en on fait le syndicat autonome et l'administration ne peut pas nous être imputé.


Et maintenant, plutôt que de raconter des bêtises, (personne du SNSPP n'a déchiré sa carte en sortant du conseil de discipline. Bon ceux qui parmi nous sont chrétiens vous pardonne, vous ne savez pas ce que vous faites, ni ce que vous dites) essayons de faire avancer les idées syndicales dans un esprit démocratique, sans démagogie et surtout sans cracher sur ses collègues. C'est en tout cas la voie que le SNSPP suivra avec ceux qui pensent comme lui, dans le but de faire aboutir les revendications légitimes de tous les agents du SDIS 78.